Ayez l’esprit tranquille grâce à ces conseils pratiques.
Emily McDonald, neuroscientifique et coach en pleine conscience basée en Arizona, explique comment elle protège son cerveau en évitant trois choses : les rumeurs, le discours intérieur négatif et les jugements erronés.
1. Potins et drames
En tête de la liste McDonald's des actions qui affectent négativement nos fonctions cérébrales figurent les potins et les drames.
Elle explique : « Être impliquée dans des commérages et des drames réduit notre capacité à nous concentrer et à penser logiquement en augmentant l’activité de l’amygdale… la partie émotionnelle du cerveau. »
"L'amygdale et le cortex préfrontal sont très connectés, donc être négatif réduit l'activité du cerveau logique", a poursuivi McDonald dans son TikTok d'une minute, publié plus tôt ce mois-ci.
Sur le plan évolutif, les commérages, les cliqueries, les comportements d'exclusion et généralement cruels ont aidé nos ancêtres à survivre, mais selon McDonald, à ce stade du jeu, les mêmes jeux entravent notre capacité à traiter logiquement et à établir des liens significatifs.
2. Discours intérieurs et critiques négatifs
McDonald explique que la répétition d’histoires négatives incite le cerveau à rechercher ce qui ne va pas plutôt que ce qui est bien. "Cela augmente également le stress et l'anxiété et réduit nos performances et notre capacité à atteindre nos objectifs", a-t-elle déclaré.
Comme l’affirme McDonald, tout ce discours intérieur négatif a un vilain effet d’entraînement : « plus vous vous critiquez, plus vous critiquez les autres ».
Elle soutient qu’en pratiquant le pardon de soi, vous améliorerez votre fonctionnement et réduirez l’anxiété. Vous serez également moins enclin à vous lancer dans les activités destructrices de drames interpersonnels et de commérages insensés susmentionnées.
3. Doomscrolling pendant votre temps d'arrêt
Dans sa liste de recommandations, McDonald dénonce l'habitude de consulter les réseaux sociaux à chaque occasion – dans la file d'attente, aux feux rouges, pendant une pause au travail.
Elle explique que imposer des punitions pendant votre temps libre « diminue la concentration et la productivité en surchargeant et en fatiguant le cerveau. Vous réduisez également votre capacité à être créatif, car le temps, le silence et l’ennui sont essentiels pour permettre à l’esprit de vagabonder.
Une enquête récente a révélé qu'à la fin de leur vie, près d'un tiers (31%) des Américains préfèrent laisser leur marque par la créativité, même pour des caractéristiques telles que l'intelligence (20%), la richesse (14%) ou l'effort humanitaire (10). %).
En ce sens, arrêter son mouvement peut être la clé d’un héritage créatif.
#Protect #mental #santé #conseils #neuroscientifique
Source de l’image : nypost.com